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|When life gives you lemons, make lemonade| Sans les difficultés de la vie, notre vision n’évoluerait pas et nous resterions les mêmes. Il est bon de se rappeler, surtout quand aucune issue favorable ne semble pointer le bout de son nez, que grandir est un process qui peut prendre du temps mais que c’est okay parce qu’on n’est pas dans une compétition, on peut descendre du tapis de course et s’accorder du temps pour trouver la recette de notre propre limonade !
Marisa et Victor avec leurs deux beaux enfants forment une famille riche en diversité. C’est avec tendresse et courage qu’ils essaient de trouver un équilibre dans la culture qu’ils apportent à leurs enfants, en veillant à « bien leur transmettre les choses afin qu’ils grandissent avec le positif. » ⠀ Victor, né à Lomé, a hérité de la culture togolaise par son papa et ghanéenne par sa maman. Il est arrivé en France à l’âge de 13 ans et c’est à partir de l’adolescence qu’il a été confronté à des regards négatifs. « Quand je suis arrivé ici, je ne connaissais pas le mot ‘on t’aime’ ou ‘on t’aime pas’. Quand je jouais au foot, les autres joueurs m’insultaient souvent en alsacien, ceux de mon équipe répondaient parce que je ne comprenais pas ce qu’il était dit. » Sa femme Marisa explique aussi que les regards insistants et les remarques déplacées ont commencé à créer un malaise, « à force d’avoir vécu des situations comme ça, on est un peu sur nos gardes ». Cela provient même aussi parfois de mamans africaines qui font des commentaires durs à l’égard de Marisa car elle a épousé « un des leurs ». ⠀ Comment alors s’épanouir et élever ses enfants dans un tel contexte ? Pour Victor, sa force lui vient de sa maman et de la culture togolaise qui fait peu de différence entre les classes et les genres, « les riches et les pauvres sont toujours ensemble ». Cette chaleur, Victor l’a en lui et il la transmet où il va. En grandissant, il a appris à tenir une ligne de conduite et à préserver ses valeurs. Avant de quitter le Togo, sa maman lui a dit « Reste droit, je ne t’ai pas appris beaucoup de choses, mais s’il te plait, reste droit. » Son approche de la vie, il la multiplie aussi grâce à l’esprit ouvert et le coeur bienveillant de Marisa. ⠀ Pour eux, l’amour en couleurs est « une richesse parce que tout est doublé. La langue, la culture, tout. Mais c’est aussi un combat envers l’extérieur parce que ce qui est ‘différent’ dérange souvent les gens. » Mais c’est avec les ponts qu’ils bâtissent entre leurs cultures et leur élan positif intérieur qu’ils souhaitent avancer vers de lendemains prometteurs. 🇹🇬 🇫🇷 ⠀ Merci à @victor2.28 et @mariza06 🧡
Les saisons changent naturellement en suivant des transitions. Tout se fait à son propre rythme, tranquillement. C’est inspirant d’observer l’arrivée de l’automne, un peu pluvieuse et par moment ensoleillée. Aucune saison ne se ressemble, elles ne suivent pas les mêmes règles et pourtant on pourrait dire qu’elles communiquent entre elles. De nouvelles options ou de nouveaux chemins s’ouvrent à nous quand c’est le bon timing, même si la plupart du temps, on peut voir ça comme un challenge. Mais ce n’est pas parce qu’on ne connaît pas le terrain qu’on n’est pas équipé pour y avancer. 💆🏻‍♀️ ⠀ Alors, on la teste cette nouvelle porte ?🧚🏽‍♂️ ⠀ Modèle : @do_die_e
Un peu de couleur pour vivre cette journée. Le bleu pour la profondeur, la confiance, le calme. Le rouge pour l’énergie, la force, l’intensité. Un peu ou beaucoup de tout ça pour chacun-e d’entre vous ! 🌞
‘Dogs friendly beach’🐾⠀ Il y a encore quelques jours, j’étais en Israël. Un beau pays !! Après une longue journée de marche à Tel Aviv, on est tombé par hasard sur le concept assez extraordinaire d’une plage réservée aux chiens ! L’ambiance était unique, les maitres étaient posés pendant que leurs toutous s’amusaient comme des foufous entre eux ! Ça paraissait irréel de les voir dans cet espace de liberté, ils semblaient tellement heureux de pouvoir courir partout et de se socialiser 😄 L’ambiance de cette grande ville est sans pareil, qu’on l’apprécie ou non, elle semble détenir un certain degré de tolérance qu’on ne retrouve pas partout. C’est comme une micro culture où les gens qui se « ressemblent » se retrouvent et s’accueillent. J’ai beaucoup aimé découvrir cette plage, c’était une bonne surprise, il y avait tellement de joie, de connexion et d’affection entre la nature & les hommes. Après tout, vivre sans laisse, c’est beaucoup plus drôle ! ⠀ Des dog-friends par ici ? Partagez-nous vos expériences !🐶🐶🐶
Cet été j’ai eu la chance de pouvoir prendre quelques leçons de surf à Ericeira, Portugal. Je n’ai malheureusement pas de juicy photo de moi à vous montrer ! De toute façon, en photo on s’y croit toujours plus, alors qu’en vrai, la planche pesait assez pour que tous les 3 mètres je doive changer de bras pour la porter et au début, j’avais cette désagréable sensation d’étouffement dans ma combinaison.. Je ne vous peindrai donc pas un tableau athlétique de mes premiers essais. Les grosses vagues me faisaient franchement flipper, le prof a dû pousser ma board tout le premier cours pour que je puisse quand même ne pas trop être dégoutée de cette première expérience, je me suis joyeusement ratatinée et à moitié noyée aussi. Mais il y a eu des moments glorieux, et même s’ils furent très très TRÈS courts, il y avait quelque chose de beau. Il s’agissait de ce court instant où toutes les galaxies s’alignaient (oui parce que ça demande bien plus que juste des étoiles), où tu arrives, à temps, à te placer correctement sur ta board alors que t’es déjà épuisé d’être arrivé jusque là, puis tu choppes une belle vague, c’est à dire qu’elle est assez puissante pour t’entrainer, mais pas trop forte non plus au risque de t’engloutir et dans un parfait timing, ton corps trouve son fragile équilibre et se tient debout sur quelques mètres ! VICTOIRE ! 🏄🏼‍♀️ ⠀ À la fin de cette séance de surf que je rêvais littéralement de vivre depuis des années, j’étais HS, KO, done, épuisée, et autres synonymes. Mais j’ai réalisé une chose extraordinaire pour le petit être humain que je suis : j’étais prête à revenir le lendemain et à revivre encore 100 échecs s’il le fallait juste pour expérimenter 1 fois de plus cette sensation de glisser sur la vague ! N’est-ce pas étrange ? Moi je trouve ça exquis pour ma propre vie de perfectionniste. Avoir le courage de louper, me cogner dans la planche, me retrouver sous l’eau, me fatiguer à paddler contre les éléments pour espérer revivre un bref, imparfait et pur instant de joie ! 🤙🏾 ⠀ Des amateurs de surf par ici ? ⠀ #yebomagazine #cinematicphotography #take_magazine #independantemagazine #thinkverylittle #lisboa #portugal #surfrider #writers

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